Aujourd’hui (c’était vendredi !), je vais commencer par râler.

(Je sais, je le fais très bien !)

Parce que j’ai pris une navette pour aller à l’opposé de mon hôtel visiter des expos.

L’une a ouvert avec un quart d’heure de retard (et je suis un peu prise par le temps), l’autre n’a pas ouvert pour cause de panne d’électricité.

Et évidemment, quand tu vas dans les autres lieux, personne n’est capable de téléphoner pour savoir si c’est réparé…

Le numéro de téléphone pour le public ne répond pas.

Comme c’est tout au bout d’Arles, je ne vais pas pouvoir revenir pour vérifier 

Dommage.

C’est un peu le bordel niveau organisation mais si j’osais, je dirais qu’on est dans le sud.

Non ? C’est un cliché ? (normal pour des rencontres photographiques ! rires. Pardon.)

Ce n’est pas très bien fléché ou indiqué et ceux qui sont censés te renseigner n’ont pas toujours les infos… On va dire que tout ça forme un immense jeu de piste et que ça fait partie du truc hein ?

Et comme les gens sont sympas, on pardonne !

(Au chapitre des récriminations, signalons le manque cruel de toilettes, surtout quand on a bu trois cafés pour prendre le temps d’observer Anne Hidalgo se servir de la salade de fruits au buffet de l’hôtel ! #EtLePireCestQueCestVrai)

Une fois oublié ces petits détails, je me suis baladée dans un jardin à la découverte d’autres jardins et j’ai vu des pommes de terre de toutes les couleurs…

Puis je me suis rapatriée vers le centre ville en m’arrêtant dans un Monoprix à l’architecture stalinienne… où se tenait une expo dénonçant la société de consommation ! On ne manque pas d’humour par ici !

J’ai aussi fait un détour par la case prison. Moins fun.

J’ai continué en direction du centre et j’ai croisé (à nouveau) Anne Hidalgo et un cimetière. (L’un n’ayant rien à voir avec l’autre).

J’aime bien les cimetières (c’est mon côté Mylène Farmer) et je suis entrée.

Au loin j’ai aperçu la nouvelle tour dessinée par Franck Gehry, l’architecte de la Fondation Vuitton à Paris ou encore du Walt Disney concert hall de Los Angeles.

Mais d’une part, je ne pensais pas que c’était déjà ouvert et d’autre part, c’était un peu loin. Ce sera pour une autre fois parce qu’il y aura forcément une autre fois !

dans la maison du peintre, j’ai pénétré dans les Home sweet home de familles anglaises.

Je suis retournée dans les années 70 un petit moment avec « l’anonymous project » et j’ai même fêté Noël avec eux !

Malheureusement, je n’ai pas pu rester manger la dinde avec eux… J’étais attendue au Texas…

Mais ça, c’est une autre histoire !