Ce que femme veut, Dieu le veut.

Et ce que la reine mère (NDLR : surnom de ma mère pour ceux qui ne le sauraient pas encore) veut, Dieu le veut aussi. Mais comme il n’a pas toujours le temps de s’en occuper, c’est souvent sur moi que ça retombe.

Et comme ma mère voulait aller à Rome (demande récurrente depuis quelques années), on est allées à Rome.

Rome, la ville éternelle, dont tout le monde tombe amoureux à la première pierre.

Tout le monde.

Sauf moi.

J’y suis allée il y a une dizaines d’années (?) et je n’en ai pas gardé un grand souvenir. J’ai bien conscience que grand nombre d’entre vous ont les cheveux droits sur la tête version Desireless à la lecture de cette phrase.

Désolée… Mais avec C., on avait cumulé les déceptions. Elle s’était fait « pickpocketer » son portefeuille et encore plus grave, on avait mal mangé !

Alors je suis retournée à Rome… Mais avec un sac à dos qui ferme bien, un zest de paranoïa en tête et surtout… une liste de restaurants établie par un ami romain (longue comme une file d’attente au Colisée) pour être sûre de bien manger !

Conclusion, je vais donner tort à mes deux chanteurs préférés.

Parce qu’Etienne Daho qui chante « week-end à Rome » et qui affirme « tous les deux sans personne, Florence Milan s’il y a le temps… » se fout bien de notre gueule.

Il faut rester au moins une semaine pour visiter le minimum syndical, on n’est JAMAIS « tous les deux sans personne » puisqu’il y a du monde toute l’année même hors saison et qu’on n’aura définitivement pas le temps d’aller en plus à Florence et à Milan.

Quant à Benjamin Biolay qui nous préconise carrément « Rome en un seul jour, Rome en une seule nuit, Rome en une seule fois », là… C’est carrément de l’hérésie !

Parce qu’après cinq jours à arpenter les pavés des ruelles et des places de la ville, on comprend bien pourquoi il est dit que « Rome ne s’est pas faite en un jour » …

Da seguire… (A suivre en français !)