C’est quoi déjà l’expression avec l’armée mexicaine ?

Parce qu’ici, l’organisation n’est pas leur point fort.

Pas de plongée aujourd’hui pour cause de vent… Mais ce matin, pas de vent. Gris. Mais pas de vent.

« On aurait pu essayer de louer un bateau au dernier moment mais on ne savait pas comment vous joindre »

Par mail, WhatsApp, en appelant dans la chambre, en venant directement à l’hôtel qui est à 150 mètres du club… Non ?

Apparemment Non.

La sortie requins baleines (je ne sais pas trop où il faut un S ?!) était prévue pour 9h30. Finalement c’est 12h30.

Vous me direz que je pourrais en profiter pour faire une grasse mat’ mais avec le jet lag, autant oublier !

J’étais réveillée à 6h, j’ai tenu au lit jusqu’à 7 et je suis tombée sur les pancakes avant 8.

Je piquerais bien un roupillon mais il y a des travaux dans l’hôtel. Ça tape, ça perce, ça ponce et tout ça en musique (mexicaine… olé !)

Donc j’ai braqué le vélo de Jeanne (responsable du club de plongée) et après ce post, j’irai faire des photos le long du Malecon (la Croisette locale).

Je suis décidément trop européenne dans mon fonctionnement. Trop rigide, trop carrée et trop ponctuelle pour vivre ici !

Faut que je me détende de l’Arena (marque de mon maillot de bain).

Olé.

PS sinon, c’est vrai que Laetitia a proposé d’adopter Choupette ?