Bande de veinards, vous allez échapper à la sacro-sainte rétrospective et au bilan détaillé de 2019.

Je ne suis pas très inspirée. Il faut dire que je vous ai déjà raconté pas mal de choses tout au long de l’année…

J’aurais pourtant bien aimé vous faire rire et vous émouvoir à la fois puisqu’apparemment, c’est ce que vous préférez !

Désolée.

Je vous promets de faire au mieux tout au long de 2020 pour me faire pardonner.

Je ne peux pourtant pas dire que je manque de souvenirs.

Des otaries mexicaines de février aux girafes tanzaniennes d’octobre en passant par la folie des concerts de Mylène Farmer en juin… Sans oublier ce soir de juillet où je suis remontée sur scène à l’invitation de Sharleen Spiteri au théâtre antique d’Arles… Il y a de quoi (re)dire !

En vrac et en résumé, 2019 fut l’année des animaux sauvages, de la découverte de la Provence, des amis toujours là, d’un ami qu’on perd peu à peu parce qu’il se perd lui-même, des nouveaux amis dont on saura au fil des ans s’ils méritent vraiment d’être considérés comme des amis, d’une déception en voyage, d’une rencontre inattendue, de l’amertume qui s’estompe, du travail sur soi, des voisins partis, de la joie de vivre revenue mais de la mélancolie qui s’accroche parfois, de la création de ce blog, du saut en parachute, des premiers cours de théâtre, d’un nouveau petit cousin, des vannes innombrables sur les Crocs, des Spritz en terrasse à Rome…

Mais ce qui est bizarre, c’est qu’il y a quelques semaines, je suis retombée sur ce minuscule post-it griffonné fin 2018.

Il ne s’agissait pas tant de résolutions que d’envies.

Et finalement, il résume assez bien l’année passée.

Je n’ai pas refait de post-it depuis.

Alors 2020 reste ouverte à toutes les suppositions, toutes les surprises et tous les espoirs !

Et je vous souhaite à tous le meilleur… Et plus encore !